Triathlon de
Quiberon : un bénévole agressé samedi 1er septembre
Samedi alors que se courait le
triathlon, un bénévole signaleur à un carrefour a été agressé par un
automobiliste qui voulait passer alors que c'était interdit. Le conducteur a
agressé le bénévole qui a été hospitalisé en urgence.
Samedi à Quiberon se courait une manche de D1 de
triathlon comptant pour le championnat de France par équipes. Les rues dans
lesquelles se déroulait la compétition étaient interdites à la circulation et
des bénévoles du club de triathlon de Quiberon étaient signaleurs et régulaient
la circulation pour empêcher les véhicules de passer.Vers 14 h, un signaleur a
voulu empêcher un automobiliste de passer au niveau d’un carrefour.
Selon nos informations, le conducteur de la voiture est
sorti et a projeté le bénévole sur un muret après lui avoir asséné des coups de
poing. Le bénévole âgé de 66 ans a été pris en charge par les secours et le Smur
puis transporté par les pompiers à l’hôpital de Vannes. Souffrant de trois côtes
cassées et d'un poumon perforé, il a été placé en soins intensifs.
Pontacq : un signaleur
d'une course cycliste percuté par une voiture
Par
Pierre-Olivier Julien, publié le , modifié .
Les pompiers de Coarraze sont intervenus.
Une voiture a percuté ce vendredi vers 11h un
signaleur, présent sur une course cycliste. Il a été transporté à l'hôpital de
Pau, sans gravité.
Ce vendredi vers 11h, un signaleur d'une course
cycliste passant par Pontacq a été
percuté par une voiture, non loin de l'église.
Les pompiers de Coarraze se sont déplacés pour prendre en charge la
victime, âgé de 58 ans.
Selon les secours, il a été transporté au centre hospitalier de Pau,
dans un état "sans gravité".
Il souffrirait du dos.
Courses cyclistes : signaleurs en danger
Lors d'une récente course cycliste à
Boulogne-sur-Gesse
Les courses cyclistes empruntant la voie publique sont soumises à
réglementation. Un arrêté préfectoral définit l'utilisation de
la route. La circulation est toujours possible dans le sens de
la course.
Vêtus de gilets de sécurité jaunes, des signaleurs bénévoles
doivent être placés aux endroits stratégiques. Leur rôle est de
prévenir les usagers de la route du passage de la course et de
la priorité qui s'y rattache. Ils peuvent stopper momentanément
la circulation chaque fois que cela est nécessaire. Ils ne
disposent toutefois d'aucun pouvoir de police, notamment de
pouvoir d'injonction, à l'égard des usagers qui ne
respecteraient pas la priorité.
Un rôle de plus en plus difficile
Depuis quelques années, la tâche du signaleur devient
difficile, certains automobilistes, sans doute trop pressés,
ayant tendance à ne pas respecter les conseils de prudence. Ce
qui vient de se passer à Boulogne-sur-Gesse est très révélateur.
exemple. En 2013 déjà, deux accidents avaient même terni
l'épreuve du Grand prix Jesus Mujica. Lors de la récente 68e
édition, deux automobilistes n'ont pas tenu compte des remarques
des signaleurs pourtant expérimentés. Ils n'ont pas hésité à
emprunter la voie dans le sens opposé à la course. Devant le
danger, le premier incident a même provoqué l'arrêt du peloton
au deuxième tour de la course qui a été neutralisée.
Deux signaleurs agressés
Un deuxième départ a été donné. Ce qui est plus grave c'est
que ces deux volontaires bénévoles ont été agressés
physiquement. Le premier pris au col a relevé l'immatriculation
du véhicule et l'a signalée aux autorités.
Quelques minutes après le refus d'obtempérer, le second, dans
un autre carrefour a reçu un coup de poing de la part d'un
proche de la conductrice de l'automobile, retourné sur les
lieux.
Le sociétaire du club cyclotouriste local s'est rendu dans un
service d'urgences hospitalières et a déposé plainte à la
gendarmerie. Le non-respect des conditions de l'arrêté
préfectoral est sanctionné par l'article R232-10 du code de la
route par une contravention.
Hervé Gascogne
Quelques échanges de courriers (Avril 2018)
Un bénévole agressé par un automobiliste
lors d’une course
La scène s’est déroulée dimanche sur la Penn
Ar Bed (épreuves juniors) à Plougonvelin dans le Finistère. Le président du
comité d’organisation de la course, Laurent Barbu, s’est fait agresser par un
automobiliste.
Alors qu’il se tenait près de l’arrivée en
tant que signaleur, il a fait remarquer au conducteur d’une voiture que ce
dernier gênait la course.La route étant bloquée avec les autorisations
nécessaires pour permettre la sécurité de nos jeunes, ll toque alors légèrement
sur la carrosserie pour prévenir le conducteur et ses 3 occupants. Mais voilà
que le chauffeur en sort énervé et assène des coups à Laurent Barbu.
Bilan: 8 jours d’ITT et un hématome à la
lèvre.
Ce dernier a déclaré au journal « Le
Télégramme »: « Dimanche, dans le feu de l’action, j’ai dit à l’adjoint
aux Sports de Plouzané que j’arrêtais. Je me suis repris depuis, mais c’est très
démoralisant. Nous sommes des bénévoles qui essayons de créer un événement pour
que des jeunes coureurs puissent s’exprimer, et on se fait agresser pour un
rien. Tout ça alors que l’on passe des mois à obtenir toutes les autorisations
nécessaires. On est conscients que cela génère des contraintes, mais cette
voiture aurait attendu trente secondes et elle pouvait emprunter le circuit en
toute sécurité « .
Une plainte a été déposée à la gendarmerie.
La rédaction souhaite un prompt rétablissement à Laurent Barbu.
Charente : un
automobiliste frappe le signaleur d’une course cycliste
Publié le
24/03/2018 à 18h28 par Jonathan Guérin.
Les faits se sont produits samedi après-midi, à Louzac-Saint-André. La
victime est légèrement blessée.
La troisième édition du Grand prix cycliste de
Louzac-Saint-André a été perturbée, ce samedi après-midi.
Le chauffeur n’a pas supporté d’être pris en photo
Pour protéger ce circuit de 9 kilomètres, des signaleurs
sont disposés aux intersections afin de réaliser les filtrages, au fur et à
mesure de la course, entre les sportifs et les automobilistes. Mais un
conducteur n’a pas eu la patience d’attendre. Il a en effet
frappé l’un des volontaires de cette course organisée par le Club loisirs
Martell Cyclos.
"Ce monsieur voulait sûrement remonter la rue à contresens de la
course", témoigne Yves Barotin, le président, qui n’a pas assisté
directement à la scène. "Or, les gendarmes nous conseillent, dans ces cas-là, de
prendre en photo la plaque d’immatriculation, pour nous décharger de toute
responsabilité en cas d’accident. J’imagine que c’est ce qui a dû se produire,
et énerver le conducteur."
"Regrettable d’en arriver aux mains pour si peu"
Le suspect, qui serait un résident de la commune à la réputation sulfureuse,
aurait alors frappé le bénévole, âgé de 56 ans. Légèrement blessé,
ce dernier a été évacué à l’hôpital de Cognac. Selon la gendarmerie, il aurait
donné son accord pour porter plainte.
"De ce que je sais, ses blessures ne sont pas d’une gravité extrême,
mais il est regrettable d’en arriver aux mains pour si peu, déplore Yves Barotin.
D’autant que la course, qui a réuni 123 coureurs, s’est très
bien passée. Dommage que la manifestation ait été entachée par cette
agression."
Un signaleur roué de coups par
un automobiliste à Gesves (Michel FABRY - L'Avenir)
Jean-Claude Terwagne, signaleur, a été roué de coups ce samedi soir à Gesves.
Jean-Claude Terwagne,
signaleur au championnat de contre-la-montre de Wallonie, a été victime d’une
agression ce samedi.
Ce samedi 27 août, le
petit village de Gesves (province de Namur) accueillait le championnat de
contre-la-montre de Wallonie cycliste. Dames Jeunesse, Débutants, Espoirs &
Élites s/C, Juniors, Amateurs & Masters, ils ont tous eu la possibilité de se
mesurer au circuit long de 13,7 km.
Si sportivement, tout
s’est bien passé pour la majorité, le gros point noir de cette manifestation est
l’agression dont a été victime le signaleur Jean-Claude Terwagne (72 ans).
Alors qu’il était à son
poste depuis 12 h 30, il s’est retrouvé sur le coup de 18 h 40 face à un
automobiliste agressif qui plus est sous l’emprise de l’alcool. Ce dernier
voulant emprunter le circuit à contresens, l’infortuné signaleur a tenté de l’en
dissuader en vain.
Une attitude qui lui a
valu d’être roué de coups. «Il continuait à frapper alors que j’étais à terre»,
témoignait le pauvre Jean-Claude Terwagne, le visage ensanglanté, avant de
prendre la direction de l’hôpital.
De son côté, l’agresseur a
été interpellé par la police locale. Il devait passer la nuit au cachot de Huy.
Si l’on ne peut que regretter cet acte déplorable, il remet au grand jour le
climat d’animosité toujours plus grande régnant entre certains automobilistes et
les cyclistes qui pratiquent leur passion.
Voici quelques mois,
l’attitude de Philippe Gilbert, qui s’était rebellé après une manœuvre
inconsciente d’un automobiliste à Theux (province de Liège), avait provoqué
l’émoi. Mieux même, les anti-cyclistes s’en étaient donné à cœur joie pour
démolir la corporation. Condamnée par les automobilistes allergiques aux deux
roues, la réaction de notre champion de Belgique avait été comprise par la
majorité des cyclistes confrontés au danger de la route quotidiennement.
L’incident de ce samedi
démontre en tout cas que certaines tensions entre automobilistes et cyclistes
peuvent toujours se manifester, sur une voirie qui appartient pourtant à tous.
Loir-et-Cher -
Saint-Ouen : Il agresse une signaleuse lors
d'une course (03/04/2016)
Les
signaleurs sont essentiels au bon déroulement des épreuves sportives (ici sur le
Tour de Loir-et-Cher). - (Photo archives NR, Jérôme Dutac)
Un Vendômois a été
condamné pour injures, violences et menaces de mort envers un bénévole et des
spectateurs du duathlon de Saint-Ouen.
Tribunal correctionnel de
Blois
Ils sont plein de bonne
volonté les bénévoles qui permettent aux manifestations sportives de se dérouler
dans les meilleures conditions. Dimanche dernier, se tient le championnat
régional de duathlon à Saint-Ouen. Les signaleurs sont en poste et bloquent la
circulation pour assurer la sécurité des coureurs et cyclistes.
Un grincheux, ne pouvant
emprunter son itinéraire habituel, s'en prend alors à l'une des bénévoles.
Il était jugé, vendredi,
en comparution immédiate au tribunal de Blois.
Devant femme et enfant restés dans le Range Rover, ce Vendômois de 38 ans
s'énerve contre la signaleuse. Il l'insulte copieusement, le tout assorti d'un
crachat. Un homme s'interpose et se prend un coup de poing. Tous deux sont
menacés de mort. La femme apeurée n'ose pas quitter son poste, la sécurité de la
course est en jeu. Les policiers arrivent, l'agresseur repart.
Quatre jours plus tard, l'homme violenté recroise le prévenu dans une boucherie
de Vendôme. Les menaces de mort sont renouvelées. L'apprenti du commerce de
bouche est également visé.
" Cette gamine est
importante pour moi "
Présenté en comparution
immédiate, le Vendômois en cause n'est pas un tendre. La présidente Sylvie
Avezou-Franch présente son casier judiciaire. Commence une litanie de
condamnations depuis 1999 pour vols en réunion, violences, conduites sans
permis, usage de stupéfiants. Soit 22 mentions. Auxquelles s'ajoutent 49 mains
courantes à son encontre, entre 2007 et 2016. « Ce n'est pas que les autres
le problème. Si vous prenez tout sur ce ton et avec cette attitude, ça ne peut
pas aller. Surtout tous les quatre jours ! »
L'avocate de la défense, Me Aurélie Weinkopf, reconnaît que son
client « a un problème de gestion de la colère. » Un aménagement de peine
lui permettait de se soigner, chose qu'il ne pourra pas faire en prison. « Et
il n'est pas sans emploi, il s'occupe de sa fille pendant que sa femme
travaille. La famille tient ainsi. » Concernant le racisme dont il se dit
victime, l'avocate admet : « Je ne sais pas ce qu'est être noir dans une
petite ville comme Vendôme. Il peut y avoir un climat où l'on se sent rejeté. »
Dans le box des accusés, le Vendômois tente de faire plier la cour : « Je
demande une dernière chance. Cette gamine est importante pour moi. »
" Incapable de se remettre
en cause "
Des propos qui ont rebondi
sur la vice-procureure Alexandra Pethieux : « J'ai entendu cela quinze fois.
J'ai du mal à lui faire confiance et à croire en sa capacité d'amendement. Quand
on le croise, on risque d'être menacé, tapé. Il est nuisible, intolérant à la
frustration. Je ne vois pas de circonstances atténuantes. Le bracelet
électronique est inadapté, il ne supportera pas la frustration, il est incapable
de se remettre en cause. » Les réquisitions s'ensuivent : huit mois de
prison ferme, sous mandat de dépôt et le paiement d'une amende de 530 euros.
Le prévenu est finalement condamné à six mois de prison avec mandat de dépôt et
330 € d'amende. Il devra également verser 1.300 € aux parties civiles. L'homme
n'a pu embrasser que sa femme avant de quitter le palais de justice encadré par
deux policiers. La présidente a refusé que la fille du prévenu, âgée de 17 mois,
pénètre dans la salle d'audience.
Audrey Capitaine
Association Ofrass-
Villeparisis (77) : Un automobiliste en garde à vue après l'agression d'un
signaleur.
Un salopard de la route à été interpellé
cette fin d'après midi à Villeparisis (77) après qu'il ait forcé plusieurs
postes de signaleurs sur une course cycliste et blessé l'un d'entre eux avec son
véhicule. Il a été interpellé à son domicile peu de temps après les faits, son
immatriculation ayant été relevée par des témoins de la scène.
Le signaleur, heureusement légèrement blessé
à un genou à été pris en charge par les SP du 77 et à été transporté à l'hôpital
pour un examen plus approfondi.
Il s'est vu prescrire une ITT de 5 jours pour
ces faits.
Deux plaintes seront déposées pour violences
volontaires aggravées avec arme par destination
Une fois encore, les signaleurs ne bénéficient d'aucune protection !
(Belgique, 11 juillet 2016)
Libéré après avoir
renversé un signaleur de triathlon
Un automobiliste âgé de 48 ans qui avait intentionnellement
renversé dimanche un signaleur d'un triathlon à Maarkedal car il était
pressé, a été présenté lundi à un juge d'instruction d'Audenarde, qui l'a
libéré sous conditions, indique la section locale du parquet de Flandre
orientale.
En raison de cette manifestation sportive, plusieurs rues de Maarkedal
ont été fermées à la circulation. Un automobiliste pressé n'a pas apprécié
d'être retardé par l'événement et a intentionnellement renversé un
signaleur. Celui-ci, âgé de 52 ans, a été emmené grièvement blessé à
l'hôpital.
Le conducteur a lui été interpellé et présenté à un juge d'instruction pour
coups et blessures volontaires avant d'être libéré sous conditions.
Un de plus ! (FRANCE, 11 juillet 2016)
Le C.C.P.F. 33 en
deuil.
Hier soir, quelle triste nouvelle d’apprendre
le décès de notre Ami PICARD-FAURE Jean Jacques (DELTA 33) adhérent sous
le n° 97416 a notre fédération nationale.
Tristesse décuplée d’apprendre que ce décès est suite à un chauffard
n’ayant même pas eu le courage de ses actes en prenant la fuite alors
que notre Ami était en poste en qualité de signaleur radio.
Après une conversation téléphonique avec Alain, Président du C.C.P.F. 33
et Arnaud, tous les deux, bouleversé
par ce drame ignoble, mise en place d’un premier dossier transmis a
notre assureur par courriel dès hier soir.
Ce matin, 9 heures pétante, j’entretenais avec lui une conversation
téléphonique afin de lui confirmer que deux plaintes étaient déposées,
l’une par la famille, l’autre par le comité d’organisation de cette
manifestation.
Immédiatement après, je prenais contact avec la famille pour déjà leur
apporter notre soutien moral dont ils ont tous un grand besoin, mais
aussi, pour leur expliquer l’aide que nous allons leur apporter par
l’intermédiaire de notre assurance.
Habitué professionnellement à ce genre de drame, je sais combien il est
fondamental d’être actif et réactif le plus rapidement possible.
A tous mes Amis du C.C.P.F. 33, oh combien bouleversé par cet acte
atroce, ainsi que a toute la famille de Jean-Jacques, qu’ils sachent que
je suis disponible 24/24 heures pour répondre et leur apporter tout mon
soutien dans toutes leurs démarches.
Je ne peux résister a dire et surtout à écrire que pas un seul signaleur
d’un club adhérent à notre fédération ne devrait être mis en poste s’il
n’est pas couvert par son adhésion annuelle à la FFCBL/SER.
Le risque est beaucoup trop important pour les responsables du Club,
mais aussi également pour la famille de la victime.
Si le décès est traumatisant, il faut penser également aux accidents
très graves pouvant entraîner une invalidité totale avec toute ses
conséquences.
Prendre de tels risques pour économiser une cotisation annuelle de 12 €
est ridicule.
Il faut savoir que dans le cas de Jean-Jacques, déjà un capital décès
sera versé aux ayants droit par notre compagnie d’assurance, et
qu’ensuite, aux tribunaux de faire condamner sur le plan civil et pénal
ce chauffard.
Mes amis, ma responsabilité est beaucoup trop importante pour passer
sous silence ses recommandations.
Mes cordiales amitiés a vous toutes et a vous tous.
Un début de réponse ? (FRANCE, 10 juillet
2016)
Claudio CHIAPPUCCI 2016 (FRANCE, 04 juin
2016)
Côte-d'Or
- Faits divers Semarey : un accident grave sur la course cycliste Claudio-Chiappucci
La course
cycliste de ce samedi a connu un incident grave. Un cyclotouriste de 61 ans est
entré en collision avec une voiture à Semarey, route de Commarin, vers 10 h 56.
L'homme, gravement blessé et originaire de Saône-et-Loire, a été transporté par
les sapeurs-pompiers de Sombernon au CHU de Dijon.
Rappelons que Les Amis de la Claudio Chiappucci organisaient une
épreuve cyclosportive avec la participation du grand champion italien Claudio
Chiappucci qui accompagnait les participants sur les parcours (de 36 à 156
km) en compagnie d'autres anciens grands coureurs professionnels.
Pau 2014 (FRANCE, 21 septembre 2014)
Pau : une
concurrente du semi-marathon renversée par une voiture
Un
automobiliste a forcé le passage sur le circuit du semi-marathon, blessant une
concurrente
L'édition du semi-marathon de Pau, la Noste Henric, a été marquée par un
accident de la circulation ce dimanche matin, vers 9h30.
Alors que le
circuit du centre-ville où évoluaient autour de 600 concurrents était encadré
par des commissaires de course, un automobiliste a forcé le passage
avant de percuter une semi-marathonienne. Celle-ci a été blessée à la jambe et
transportée à l'hôpital.
D'après les
premiers témoignages, l'homme, âgé de 90 ans, tenait absolument à passer
au niveau du boulevard des Pyrénées. Il aurait accéléré assez fortement
pour avancer sans respecter la consigne qui lui imposait d'attendre.
Dans sa
lancée, le véhicule a renversé une des concurrentes. Celle-ci a été
victime d'une fracture de la cheville.